Mais oui mais oui l'école est finie ...
Et bien finie. Les Alice Cooper y ont foutu le feu. Car il ne faut pas oublier qu’Alice Cooper est à la sortie de « School’s out » en 1972, encore un groupe. Qui commence à avoir un gros succès aux USA. Et dont le chanteur, Vincent Furnier qui a pris le pseudonyme d’Alice Cooper, focalise tous les regards. Et ce qui fait la réputation d’Alice Cooper, ce sont les concerts. Les shows, devrait-on dire. Tenues et maquillages outranciers, serpent, accessoires sado-maso (des fouets à la … guillotine), pyrotechnie, effets visuels … La totale. Les vieux bourgeois et leurs rombières appellent ça du rock décadent.
Et la musique, dans tout ça ? Une base de hard-rock mélodique, de celui capable d’engendrer hymnes et tubes (« School’s out » le morceau, « My Stars »). Mais surtout l’influence de leur producteur Bob Ezrin. Qui trouve toujours le moyen de glisser ça et là des arrangements classiques ou jazzy (« Blue Turk », « Grande Finale »), arrangements qui constitueront sa marque de fabrique par la suite (« Berlin » de Lou Reed, « The Wall » du Floyd, c’est Ezrin aux manettes).
Même si perso je préfère « Killer », « School’s out » est un des grands disques d’Alice Cooper. Qui va les aligner, les grands disques, dans cette première moitié des années 70.
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