Grands amateurs de cigarettes qui font rire, les Cypress Hill ne sont pas que cela. Ils ont proposé avec ce 1er Cd de 1991 une des visions sonores les plus originales du rap. Avec notamment un final de disque qui renoue avec leurs racines cubaines et portoricaines.
DJ Muggs (que l'on retrouvera avec Tricky pour le superbe« Juxtapose ») met en scène un habillage musical innovant, rythmes sautillants et grosses basses. Et si les Cypress Hill ont l’air de types cool (« Light another », « Something for the blunted », …), faut pas les chercher non plus (« How I could just kill a man »).
Même si aux USA le grand succès viendra avec le suivant (« Black Sunday »), c’est bel et bien ce premier Cd qui me semble leur plus convaincant.
Les III : Temple of Boom, est ce qu'il convient d'appeler une tuerie. Un des rares album de rap que j'ai entendu (suis pas spécialiste non plus) qui tient sur la longueur.
RépondreSupprimerJe connais que celui-là, ceux qui suivent doivent être OK aussi, de toutes façons c'est la décennie "magique" du rap (85-95), où à peu près tout ce qui sort est bon ...
RépondreSupprimerPar la suite, il faut vraiment trier ...