Genèse d'une légende
Marley début 70's |
Tout a été dit et écrit sur Marley, et tout le monde
( ? ) connaît ses plus grands succès. Issus de sa période Island (de « Catch a
fire » à sa mort).
Mais Marley n’est pas « né »
artistiquement lors de sa rencontre en 1972 avec Chris Blackwell patron du
label Island Records. Tous ceux qui ont eu la curiosité de se pencher sur son
œuvre le savent, les meilleurs morceaux de Marley datent d’avant 1972, alors
qu’il enregistrait dans l’anonymat total pour le reste du monde dans sa petite
île des Caraïbes.
Ce Cd présente quelques uns des enregistrements
mythiques de cette période, dont les versions originales des futurs hits
planétaires « Concrete Jungle », « Put it on », « Keep
on movin’ » réalisées avec les Wailers originaux (le trio vocal Bob Marley
– Peter Tosh – Bunny « Wailer » Livingstone).
Et cerise sur le gâteau, chaque titre est accompagné
de sa version instrumentale (les fameux dubs) remixée par Lee
« Scratch » Perry, petit bonhomme lubrique aux neurones grillés par
la ganja, mais surtout un des deux ou trois plus grands producteurs de tous les
temps, l’égal d’un George Martin ou Phil Spector.
Le reggae dans sa pureté originelle, et la
conjonction des deux plus grands génies musicaux jamaïcains.
Catch A Fire
Natty Dread
"tout le monde ( ? ) connaît ses plus grands succès"
RépondreSupprimerC'est vrai, la preuve, j'en connais un ("Get up stand up") donc je les connais tous...
Rien à faire, le reggae, j'ai toujours du mal, Bob Marley or not.
RépondreSupprimerT'as entendu, Lester ? Au suivant ! :)
RépondreSupprimerSi je vous suis, le reggae c'est comme la techno-electro-bidule : t'écoutes un morceau de guetta, et t'a entendu l'intégrale WARP ...
RépondreSupprimerVade retro Satanas, le nom de WARP doit se trouver à une distance hygiénique de celui de ce gus (gus). Ils doivent être séparés d'au moins 593 mots...
RépondreSupprimerOui, c'est ce qu'un gros couillon comme moi qui ne connait que pouic au reggea dirait.;)
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