Oooooh My Soul, une compile de Little Richard ...
Les débuts du rock’n’roll se devaient d’avoir une image, une icône. Ce fut Elvis (aux débuts, parce que les sandwiches au beurre de cacahuètes l’ont vite épaissie, l’image). Il leur fallait une guitare. Ce fut celle de Chuck Berry. Et une voix. Aucun doute possible, c’est celle de Little Richard.
En effet, qui d’autre que le futur ex-révérend Penniman peut symboliser le chant du rock’n’roll, cette diction hystérique qui allait secouer l’Amérique du milieu des années 50, avant de faire succomber à ses rythmes le reste de la planète ?
La voix de Little Richard sauve cette compilation, car ce Cd n’est pas terrible : moins de 40 minutes au compteur, une présentation non chronologique, un son pas génial (no remasters), un visuel tout moche, …
Les plus grands classiques sont là (« Lucille », « Long tall Sally », « Good Golly Miss Molly », « et l’indépassable « Tutti fruti »), mais quelques morceaux de plus et une présentation plus soignée n’auraient pas été du luxe.
Vu la multitude de compilations de la première « folle » du rock sur le marché, on peut facilement trouver mieux que ce Cd sorti sur un label improbable, Bescol ( ? ), aux temps préhistoriques du support.
En effet, qui d’autre que le futur ex-révérend Penniman peut symboliser le chant du rock’n’roll, cette diction hystérique qui allait secouer l’Amérique du milieu des années 50, avant de faire succomber à ses rythmes le reste de la planète ?
La voix de Little Richard sauve cette compilation, car ce Cd n’est pas terrible : moins de 40 minutes au compteur, une présentation non chronologique, un son pas génial (no remasters), un visuel tout moche, …
Les plus grands classiques sont là (« Lucille », « Long tall Sally », « Good Golly Miss Molly », « et l’indépassable « Tutti fruti »), mais quelques morceaux de plus et une présentation plus soignée n’auraient pas été du luxe.
Vu la multitude de compilations de la première « folle » du rock sur le marché, on peut facilement trouver mieux que ce Cd sorti sur un label improbable, Bescol ( ? ), aux temps préhistoriques du support.
Le vide-grenier continue.Tu peux pas fair le commentaire d'une *bonne* anthologie au lieu de nous sortir des vieux CD tout pourris ?:)
RépondreSupprimerLittle Richard. Gay as shit. Bad as fuck. Rock'n roll baby.
Et la tendresse, bordel ? T'en fais quoi, hein, de la tendresse ?
RépondreSupprimerC'est la 1ère compile de Petit Richard que j'ai achetée ... ça compte ...
Ah, si c'est sentimental alors...
RépondreSupprimerMais dis-donc, Tutti Frutti, ça réfère à une pratique sexuelle bucogénitale, on est bien d'accord ? Quelle grande folle ce Little Richard.
On peut imaginer plein de choses sur Tutti frutti, ce qui domine, ce sont les onomatopées ...
RépondreSupprimerIl me semble que comme beaucoup de textes des pionniers rock'n'roll, tout est pompé (désolé, y'a pas d'autre mot) sur des allusions salaces de vieux blues ...