Le paraître et le néant ...
Des vrais rebelles, j'vous dis ... |
Tout est dans l’apparence : bien coiffés, bien
habillés (enfin, c’est ce qu’ils croient), bien propres sur eux. Haircut 100
accomplissent un exploit unique : sonner avec de vrais instruments aussi
vide, aussi creux, aussi inexpressif que leurs collègues bardés de synthés de
la vague électro-pop anglaise du début des années 80.
« Pelican West » ou quand les petits
bourgeois british s’imaginaient faire de la musique, voire du rock.
Forcément, il doit bien encore se trouver quelque
part des malentendants pour trouver ça bien, danser en remuant les coudes et
les épaules sur « Nobody’s fool » et « Favourite shirts ».
En 1982, quand cette chose est parue, le petit Nicolas et ses potes de Neuilly
devaient adorer.
Que de clichés dans votre diatribe (je n'ose nommer ça une critique). Ceci n'est pas du rock mais de la (bonne) pop qui s'assume.
RépondreSupprimer