Derniers coups de griffe...
Un premier album superbe, un second un peu moins,
des tournées incessantes ont fait des Stray Cats un groupe important et
respecté du début des années 80.
Les Stray Cats en 83 : plus vraiment la banane ? |
Lequel Cd commence et s’achève par deux titres
évoquant fortement Cochran, inclut les belles « 18 miles to Memphis »
et « I won’t stand in your way », ainsi que le hit « (She’s)
sexy & 17 ». Ce Cd aurait pu être aussi bon que le premier, et même si
Setzer est devenu un superbe guitariste, les faiblesses apparaissent : la
voix est fatiguée, usée par les tournées incessantes, un style de vie très
« rock’n’roll » et l’entrain juvénile qui caractérisait les Cats des
débuts a disparu.
Le groupe ne va d’ailleurs pas tarder à se séparer,
Setzer le réactivant de temps à autre pour permettre à ses deux potes de
profiter de lucratives tournées. Et même si ces « reformations »
donneront des Cds plutôt dispensables, la « vraie » discographie des
Stray Cats se termine pour moi avec cet honnête « Rant n’rave ».
Des mêmes sur ce blog :
Hein ? Quoi ? Pas de lien, de transition, de perche tendue vers leurs cousins français de Jesse Garon et ses potes ?!!! Luc.
RépondreSupprimerJesse Garon ? Oh non, c'était pire en vrai ...
RépondreSupprimerLes Stray Cats, je les ai vus en 81, et la première partie, c'était ... gloups, les Forbans !
Véridique ...