AIRBOURNE - RUNNIN' WILD (2008)


 C'est dans les vieux pots ...

Premier réflexe : Tiens, des inédits d’AC/DC période « Let there be rock » - « Highway to hell ». Euh, non c’est le 1er Cd d’un jeune groupe, Airbourne.

Balèzes, les Australopithèques ...
Groupe australien bien sûr. Et dès lors, la référence à la bande à Bon Scott et Angus Young à leur apogée s’explique mieux.

Mais après quelques écoutes, on peut affirmer que ce n’est pas de la vulgaire copie. Certes, quelques tics vocaux rappellent furieusement Bon Scott, mais ce qui fait la classe de cet album, c’est le son. Ce son du hard des années 70, AC/DC, Aerosmith, Johnny Winter, Free, Scorpions, …

Cette recette sonore simple, basique, que plus personne ne semblait aujourd’hui capable de pouvoir recréer. Les quatre minots d’Airbourne y sont arrivés. Et même si ce disque ne soutient pas vraiment la comparaison avec les meilleurs des glorieux anciens (il manque dans ce Cd un riff d’anthologie, un refrain imparable, et il y a des progrès à faire au niveau solo de guitare), on tient avec ce « Runnin’ wild » un des meilleurs disques de hard-rock 70’s de la décennie.

Ce qui n’est quand même pas si mal.





3 commentaires:

  1. La question est un petit peu "Quel intérèt?" quand même... Enfin, si ils sont adoubés par Lemmy...

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  2. C'est sûr qu'ils inventeront pas un nouveau genre musical, mais bon, on reproche pas à ac/dc ou motorhead de faire le même disque (en un peu moins bien qu'au début quand même) depuis 40 ans ...

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  3. Ouais. Mais ils le font depuis 40 ans.:)

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